le génial concert de Véronique Sanson à nantes
ON Y ETAIT !!!!!!
même qu'on peut nous voir sur les photos "officielles" en provenance du facebook de veronique Sanson
les photos suivantes sont aussi de son photographe © Christian Meilhan
et une petite vidéo prise avec mon téléphone :))
le quotidien "le télégrame" a aussi assisté au concert......
"Concert événement, vendredi, au Zénith de Nantes, où Véronique Sanson revisitait ses années américaines devant 4.000 personnes.
Titres intemporels, musiciens complices, énergie incroyable de la chanteuse...
Les « Véro, on t'aime ! » fusent de partout avant qu'elle n'entame « Vancouver » avec une voix intacte, belle et rageuse. Une ovation emplit le Zénith lorsqu'elle chante « Les gens de la nuit sont toujours là quand il faut. Ils vous accueillent avec des rires et des bravos ». Les retrouvailles débutent
.Elles vont durer 2 h 25, durant lesquelles s'enchaînent les tubes, portés par un groupe bluffant, dans lequel on repère vite Steve Madaio. Eh oui, le trompettiste est de la tournée. Et la section cuivres, « drivée » par ses soins, a du panache et obéit au doigt et à l'oeil à Véronique Sanson lorsqu'elle la convie à l'avant-scène sur « Bernard's Song ».
Il y a aussi la guitare du grand Basile Leroux (Eddy Mitchell, Higelin, Jonasz...) qui cisèle des riffs fabuleux, deux choristes déconnos, l'excellent bassiste Dominique Bertram, Loïc Ponthieu à la batterie, François Constantin aux percussions, Frédo Gaillardet au clavier... Bon sang, quel son rythm'n'blues ! ... émues L'émotion, aussi, est intacte, lorsqu'elle entonne les autobiographiques « Le Maudit », « Besoin de personne », « Je me suis tellement manquée » ou « Chanson sur ma drôle de vie ». Elle est à son comble sur « Amoureuse ».
Véronique Sanson, qui a bouffé du lion, applaudit son public, dit son bonheur d'être là, s'amuse de l'image que lui renvoient deux miroirs installés sur le côté gauche de la scène, l'un la faisant apparaître comme une grande dame effilée, l'autre comme « un bon petit troll », déconne-t-elle. Elle aurait pu partir sur « Ma révérence » mais... « trop triste », estime-t-elle. Alors elle revient pour « Bahia », qu'elle demande à la salle, qui ne se fait pas prier, de chanter.
Voilà. Dehors, il pleut toujours mais après ça, « les jours de pluie, ça me fait bien rire ».
© Le Télégramme